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21/09/2014

Le Pape François et ses admonitions bien loin de la mollesse 'pastoralement correcte'

Suite de notre série en défense du Pape François, avec une vidéo un peu plus ancienne.

Numéros précédents de la série:

> François, un Pape mal cité, mal interprété et mal compris

> François, Vicaire du Christ, Serviteur des serviteurs de Dieu

Sur le même thème:

> Le pipotron ecclésiastique

> Les Admonitions de Saint François d'Assise

20/09/2014

Pape François: "L’amour du Christ peut rendre aux époux la joie de cheminer ensemble"

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FÊTE DE L'EXALTATION DE LA SAINTE CROIX

MESSE AVEC LE RITE DU MARIAGE

HOMÉLIE DU PAPE FRANÇOIS

Basilique vaticane
Dimanche 14 septembre 2014

 

La première lecture nous parle de la marche du peuple dans le désert. Pensons à ces gens en marche, guidés par Moïse ; c’était surtout des familles : des pères, des mères, des enfants, des grands-parents ; des hommes et des femmes de tout âge, beaucoup d’enfants, avec les vieux qui éprouvaient la fatigue… Ce peuple fait penser à l’Église en marche dans le désert du monde d’aujourd’hui, il fait penser au Peuple de Dieu, qui est composé en majorité de familles.

Cela fait penser aux familles, à nos familles, en chemin sur les routes de la vie, dans l’histoire de chaque jour… Elle est incalculable la force, la charge d’humanité contenue dans une famille : l’aide réciproque, l’accompagnement éducatif, les relations qui grandissent avec la croissance des personnes, le partage des joies et des difficultés… Mais, les familles sont le premier lieu où nous nous formons comme personnes et en même temps elles sont les “briques” pour la construction de la société.

Revenons au récit biblique. À un certain point « le peuple n’a pas supporté le voyage » (cf. Nb 21, 4). Ils sont fatigués, l’eau manque et ils mangent seulement la “manne”, une nourriture prodigieuse, donnée par Dieu, mais qui en ce moment de crise semble insuffisante. Alors ils se lamentent et protestent contre Dieu et contre Moïse : « Pourquoi nous avez-vous fait partir ?... » (cf. Nb 21, 5). Il y a la tentation de revenir en arrière, d’abandonner le chemin.

Cela fait penser aux couples d’époux qui “ne supportent pas le voyage”, le voyage de la vie conjugale et familiale. La fatigue du chemin devient une lassitude intérieure ; ils perdent le goût du Mariage, ils ne puisent plus l’eau de la source du sacrement. La vie quotidienne devient pesante, et bien des fois, “écœurante”.

En ce moment de désarroi – dit la Bible – arrivent les serpents venimeux qui mordent les gens, et beaucoup meurent. Ce fait provoque le repentir du peuple, qui demande pardon à Moïse et lui demande de prier le Seigneur pour qu’il éloigne les serpents. Moïse supplie le Seigneur et celui-ci donne le remède : un serpent de bronze, suspendu à une hampe ; quiconque le regarde sera guéri du venin mortel des serpents.

Que signifie ce symbole ? Dieu n’élimine pas les serpents, mais il offre un “antidote”: à travers ce serpent de bronze, fait par Moïse, Dieu transmet sa force de guérison – force de guérison ‑ qui est sa miséricorde, plus forte que le venin du tentateur.

Jésus, comme nous l’avons entendu dans l’Évangile, s’est identifié à ce symbole : en effet, le Père, par amour, l’a « donné » aux hommes, Lui, le Fils unique, pour qu’ils aient la vie (cf. Jn 3, 13-17) ; et cet amour immense du Père pousse le Fils, Jésus, à se faire homme, à se faire serviteur, à mourir pour nous et à mourir sur une croix ; à cause de cela, le Père l’a ressuscité et lui a donné la domination sur tout l’univers. Ainsi s’exprime l’hymne de la Lettre de saint Paul aux Philippiens (2, 6-11). Celui qui se confie à Jésus crucifié reçoit la miséricorde de Dieu qui guérit du venin mortel du péché.

Le remède que Dieu offre au peuple vaut aussi, en particulier, pour les époux qui “ne supportent pas le chemin” et sont mordus par les tentations du découragement, de l’infidélité, de la régression, de l’abandon… À eux aussi, Dieu le Père donne son Fils Jésus, non pour les condamner, mais pour les sauver: s’ils se confient à Lui, il les guérit par l’amour miséricordieux qui surgit de sa croix, par la force d’une grâce qui régénère et remet en chemin, sur la route de la vie conjugale et familiale.

L’amour de Jésus, qui a béni et consacré l’union des époux, est en mesure de maintenir leur amour et de le renouveler quand humainement il se perd, se déchire, s’épuise. L’amour du Christ peut rendre aux époux la joie de cheminer ensemble ; parce que le mariage, c’est cela : le cheminement ensemble d’un homme et d’une femme, dans lequel l’homme a la tâche d’aider son épouse à être davantage femme, et la femme a la tâche d’aider son mari à être davantage homme. C’est la tâche que vous avez entre vous. “Je t’aime, et par cela je te fais plus femme” – “Je t’aime, et par cela je te fais plus homme”. C’est la réciprocité des différences. Ce n’est pas un chemin simple, sans conflits, non, il ne serait pas humain. C’est un voyage exigeant, parfois difficile, parfois aussi conflictuel, mais c’est la vie ! Et parmi cette théologie que nous donne la Parole de Dieu sur le peuple en marche, aussi sur les familles en marche, sur les époux en marche, un petit conseil. Il est normal que les époux se disputent : c’est normal. Cela arrive toujours. Mais je vous conseille : ne jamais finir la journée sans faire la paix. Jamais. Un petit geste est suffisant. Et ainsi on continue à marcher. Le mariage est symbole de la vie, de la vie réelle, ce n’est pas une “fiction” ! C’est le sacrement de l’amour du Christ et de l’Église, un amour qui trouve dans la Croix sa vérification et sa garantie. Je vous souhaite, à vous tous, un beau chemin : un chemin fécond ; que l’amour grandisse. Je vous souhaite du bonheur. Il y aura les croix : elles y seront ! Mais le Seigneur est toujours là pour nous aider à avancer. Que le Seigneur vous bénisse !

 

Source: site officiel du Vatican - 14 septembre 2014

 

Le même jour, Espérance Nouvelle avait publié la vidéo d'un sermon au contenu pratiquement identique au texte ci-dessus, prononcé en anglais par Mgr Thomas E. Cook à l'occasion d'un mariage célébré un an plus tôt, le 14 septembre 2013, en la fête de l'Exaltation de la Sainte Croix:

 

> Synode sur la famille: le mariage et la Croix

 

Chacune des 20 minutes de ce sermon vaut réellement la peine d'être écoutée pour comprendre l'essence de ce qu'est le sacrement du mariage dans l’Église catholique.

19/09/2014

François, un Pape mal cité, mal interprété et mal compris

Suite de notre série en défense du Pape François.

Numéro précédent de la série:

> François, Vicaire du Christ, Serviteur des serviteurs de Dieu

17/09/2014

François, Vicaire du Christ, Serviteur des serviteurs de Dieu

François, Évêque de Rome, Vicaire du Christ, Serviteur des serviteurs de Dieu, Successeur du Prince des Apôtres.

Une vidéo en défense de François, le Pape.

Voir aussi:

> Pape François: se conformer non pas au monde, mais au Christ

Et puis de toute façon, quoi qu'il arrive, en inspirant l'Apôtre des Gentils (Ga 1, 1-12), le Saint Esprit a déjà répondu aux suppositions audacieuses de ceux qui attribuent au Pape des intentions ou des paroles imaginaires, ou qui utilisent leurs interprétations de ses propos réels, pour enseigner le contraire de ce qui a toujours été enseigné par les Apôtres et par l’Église invariablement depuis ses origines:

"Je m'étonne que si vite vous abandonniez Celui qui vous a appelés par la grâce du Christ, pour passer à un second évangile - non qu'il y en ait deux ; il y a seulement des gens en train de jeter le trouble parmi vous et qui veulent bouleverser l'Évangile du Christ. Eh bien ! si nous-mêmes, si un ange venu du ciel vous annonçait un évangile différent de celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème ! Nous l'avons déjà dit, et aujourd'hui je le répète : si quelqu'un vous annonce un évangile différent de celui que vous avez reçu, qu'il soit anathème ! En tout cas, maintenant est-ce la faveur des hommes, ou celle de Dieu que je veux gagner ? Est-ce que je cherche à plaire à des hommes ? Si je voulais encore plaire à des hommes, je ne serais plus le serviteur du Christ. Sachez-le, en effet, mes frères, l'Évangile que j'ai annoncé n'est pas à mesure humaine : ce n'est pas non plus d'un homme que je l'ai reçu ou appris, mais par une révélation de Jésus Christ." (Ga 1, 6-12)

 

Prière pour le Souverain Pontife

V/ Oremus pro Pontifice nostro FRANCISCO

R/ Dominus conservet eum, et vivificet eum, et beatum faciat eum in terra, et non tradat eum in animam inimicorum eius. [Ps 40:3]

V/ Constituit eum dominum domus suae

R/ Et principem omnis possessionis suae.

Oremus.

Deus, omnium fidelium pastor et rector, famulum tuum FRANCISCUM, quem pastorem Ecclesiae tuae praeesse voluisti, propitius respice : da ei, quaesumus, verbo et exemplo, quibus praeest, proficere : ut ad vitam, una cum grege sibi credito, perveniat sempiternam.

Per Dominum Nostrum Iesum Christum Filium Tuum, qui Tecum vivit et regnat in unitate Spiritus Sancti Deus, per omnia saecula saeculorum.

Amen.

Traduction non officielle en français

V/ Prions pour notre Pontife, FRANÇOIS

R/ Que le Seigneur le conserve, et le garde en vie ; qu’Il le rende bienheureux sur terre, et ne le soumette pas à l’âme [aux intentions] de ses ennemis.

V/ Il l’a constitué maître de sa maison

R/ Et le premier dans tout son domaine

Prions.

Ô Dieu, Pasteur et Directeur des fidèles, regarde favorablement ton serviteur FRANÇOIS, que Tu as voulu placer à la tête de ton Eglise ; donne lui, nous T’en prions, d'édifier, par la parole et l’exemple, ceux qu’il mène, afin qu’il parvienne, avec le troupeau qui lui a été confié, à la vie éternelle.

Par Jésus-Christ, Ton Fils, Notre Seigneur, Qui règne avec Toi et le Saint-Esprit, Dieu, pour les siècles des siècles.

Amen.

 

01/09/2014

Pape François: "Se conformer non pas au monde, mais au Christ"

Lors de l'Angélus de ce dimanche 31 août Place Saint-Pierre, le Pape a prononcé le message suivant:

"Dans l'itinéraire dominical avec l’Évangile selon Saint Matthieu, nous arrivons aujourd'hui au point crucial où Jésus, après avoir vérifié que Pierre et les autres croyaient en Lui comme Messie et Fils de Dieu, « commença à montrer à ses disciples qu'il lui fallait partir pour Jérusalem, souffrir beaucoup... être tué, et le troisième jour ressusciter. » (16,21). C'est un moment critique où émerge le contraste entre la façon de penser de Jésus et celle des disciples. Pierre se sent même le devoir de réprimander le Maître, car il ne peut attribuer au Messie une fin si ignoble. Alors Jésus, à son tour, réprimande durement Pierre, le remet "à sa place", car il ne pense pas « selon Dieu, mais selon les hommes » (v. 23) et sans s'en rendre compte il joue le rôle de satan, le tentateur.

Dans la liturgie de ce dimanche, l'apôtre Paul insiste aussi sur ce point, en écrivant aux chrétiens de Rome : « Ne prenez pas pour modèle le monde présent, – n'entrez pas dans les schémas de ce monde – mais transformez-vous en renouvelant votre façon de penser pour savoir reconnaître quelle est la volonté de Dieu » (Rm 12,2).

En effet, nous chrétiens vivons dans le monde, pleinement intégrés dans la réalité sociale et culturelle de notre temps, et cela est juste ; mais cela comporte le risque que nous devenions "mondains", le risque que "le sel perde sa saveur", comme dirait Jésus (cf. Mt 5,13), c'est-à-dire que le chrétien se "dilue", qu'il perde la fonction de nouveauté qui lui vient du Seigneur et de l'Esprit-Saint. Mais ce devrait être le contraire : lorsque la force de l’Évangile demeure dans les chrétiens, elle peut transformer « les critères de jugement, les valeurs déterminantes, les points d’intérêt, les lignes de pensée, les sources inspiratrices et les modèles de vie de l’humanité » (Paul VI, Exhort. ap. Evangelii nuntiandi, 19). Il est triste de trouver des chrétiens "dilués", qui sont comme du vin coupé avec de l'eau, et on ne sait pas s'ils sont chrétiens ou mondains, tout comme on ne sait pas si le vin coupé avec de l'eau est du vin ou de l'eau ! C'est triste. Il est triste de trouver des chrétiens qui ne sont plus le sel de la terre, et nous savons que quand le sel perd sa saveur, il ne sert plus à rien. Leur sel a perdu sa saveur parce qu'ils se sont livrés à l’esprit du monde, c'est-à-dire qu'ils sont devenus mondains.

Par conséquent il est nécessaire de se renouveler continuellement en puisant la sève de l’Évangile. Et comment peut-on faire cela en pratique ? Avant tout en lisant et en méditant l’Évangile chaque jour, de façon à ce que la parole de Jésus soit toujours présente dans notre vie. Souvenez-vous : cela vous aidera de porter toujours un Évangile avec vous, un petit Évangile, dans sa poche, dans son sac, et d'en lire un passage durant la journée. Avoir un Évangile et le lire, c'est porter la Parole de Jésus. En participant à la Messe dominicale aussi, où nous rencontrons le Seigneur, nous écoutons sa Parole et recevons l'Eucharistie qui nous unit à Lui et entre nous ; les journées de retraite spirituelle sont également très importantes pour le renouvellement spirituel. Évangile, Eucharistie et prière. N'oubliez pas : Évangile, Eucharistie, prière. Grâce à ces dons du Seigneur nous pouvons nous conformer non pas au monde, mais au Christ, et le suivre sur son chemin, le chemin où l'on "perd sa vie" pour la retrouver (v. 25). "La perdre" dans le sens de la donner, de l'offrir par amour et dans l'amour – et cela comporte son sacrifice, et la croix – pour la recevoir à nouveau purifiée, libérée de l’égoïsme et de la dette de la mort, pleine d’éternité.

La Vierge Marie nous précède toujours sur ce chemin ; laissons-nous conduire et accompagner par elle."

(Zenit - traduction d'Anne Kurian)

Le Pape François téléphone à un prêtre irakien qui lui avait écrit "avec ses larmes"

Rome | 29 août 2014 | Robert Cheaib

3359629923.jpgLe Pape François a téléphoné au prêtre irakien Behnam Benoka, travaillant au camp de réfugiés d'Ankawa, à Erbil, dans le Kurdistan irakien, après avoir reçu une lettre de lui. Il a redit son soutien et sa proximité aux Irakiens chrétiens persécutés.

 

Soutien du Pape

Le P. Behnam Benoka avait en effet fait parvenir au Pape un message d'une façon « peu orthodoxe », comme il l'explique à Zenit : profitant de la présence d'un ami, le journaliste Alan Holdren, sur le vol papal de retour de Corée du Sud (13-18 août), le prêtre avait envoyé sa lettre par le système de messagerie “Viber”. Le journaliste avait imprimé le message, pour le remettre au Pape.

Et la réponse ne tarda pas à arriver : dès le 19 août, le Pape appelait le P. Behnam Benoka, exprimant sa profonde émotion et sa gratitude pour les bénévoles à l'oeuvre dans les camps de réfugiés.

Il redisait aussi son "entier soutien" et sa "proximité" aux chrétiens persécutés en assurant qu'il continuerait à faire tout son possible pour soulager leurs souffrances.

Enfin, le Pape donnait sa bénédiction apostolique en demandant au Seigneur pour les réfugiés "le don de la persévérance dans la foi".

Dans une vallée obscure

« Je m’appelle Behnam Benoka, prêtre de Bartella, une petite ville chrétienne des environs de Mossoul. Je suis vice-recteur du séminaire catholique à Ankawa. Mais aujourd'hui je suis sous une tente que j'ai dressée avec un groupe de médecins et de volontaires pour apporter du secours médical à nos frères réfugiés », écrivait le prêtre dans sa lettre.

Il ajoutait : « Saint-Père, la situation de vos brebis est misérable, ils meurent et ils ont faim, ils n'en peuvent plus. Nous, prêtres, religieux et religieuses, nous sommes peu et nous craignons de ne pas pouvoir répondre aux exigences physiques et psychiques de vos enfants et nos enfants ».

Il exprimait aussi sa reconnaissance au Pape pour ses appels publics pour l'Irak et « parce que vous nous portez toujours dans votre cœur, et vous nous mettez sur l'autel où vous célébrez la Messe, pour que Dieu ait pitié de nous et nous enlève ce calice ».

Il concluait : « Je vous écris avec mes larmes, car nous sommes ici dans une vallée obscure au milieu d'un grand troupeau de loups féroces. Sainteté, je crains de perdre vos tout-petits, surtout les nourrissons qui s'affaiblissent davantage chaque jour. Envoyez-nous votre bénédiction pour avoir la force de continuer et de résister encore. Je vous aime, Behnam Benoka ».

(Zenit - traduction d'Anne Kurian)

Pape François: "Préserver la santé des personnes en préservant l'environnement"

Après l'Angélus de ce dimance 31 mai, le Pape a prononcé le message suivant:

"Demain, en Italie, on célèbre la Journée pour la sauvegarde de la création, promue par la Conférence épiscopale. Le thème de cette année est très important : « Éduquer à la sauvegarde de la création, pour la santé de nos pays et de nos villes ». Je souhaite que se renforce l’engagement de tous, institutions, associations et citoyens, afin que la vie et la santé des personnes soient préservées également en respectant l'environnement et la nature.

Je salue tous les pèlerins provenant de l’Italie et de divers pays, en particulier les pèlerins de Santiago du Chili, Pistoia, San Giovanni Bianco et Albano Sant’Alessandro (Bergame); les jeunes de Modène, Bassano del Grappa et Ravenne ; le groupe nombreux des Motocyclistes de la Police et la fanfare de la Police. Ce serait bien de les entendre jouer à la fin…

J'adresse un salut spécial aux parlementaires catholiques, réunis pour leur 5e rencontre internationale et je les encourage à vivre le rôle délicat de représentants du peuple en conformité avec les valeurs évangéliques.

Hier, j'ai reçu une famille nombreuse de Mirabella Imbaccari, qui m'a apporté les salutations de toute la région. Je remercie tous [les habitants] de la région pour leur affection. Je salue les participants à la rencontre de "Scholas": poursuivez votre engagement auprès des enfants et des jeunes, en travaillant dans l'éducation, dans le sport et dans la culture; et je vous souhaite un bon match, demain, au Stade Olympique !

Je vous souhaite un bon dimanche, je vous demande de prier pour moi."

(Zenit - traduction d'Anne Kurian)

On remarquera également l'opposition du Pape au laïcisme politique et au séparatisme: le Souverain Pontife fait référence à un critère très "confessionnel" pour guider les décisions politiques des parlementaires catholiques: l’Évangile !